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L’immigration doit être choisie et non plus subie

Elle doit être choisie et non plus subie, conformément à nos besoins réels en matière de main d’œuvre et de compétences. Nous devons retrouver notre souveraineté juridique pour parvenir à imposer des quotas migratoires, au titre de l’immigration légale. Le regroupement familial doit être supprimé et le minimum vieillesse ne doit plus être accordé à une personne n’ayant jamais travaillé sur le territoire national.

Nous devons surtout parvenir à expulser de manière effective les étrangers en situation irrégulière ainsi que les étrangers condamnés à la prison ferme, après qu’ils aient purgé leurs peines. Pour retrouver notre pleine souveraineté en la matière, notre peuple devra être interrogé par référendum et faire connaître ses choix de manière claire afin de nous permettre d’agir, enfin. Si nous disposons de son consentement nous pourrons nous affranchir de la faiblesse et de l’impuissance qui ont toujours prévalu en la matière.

Grâce à l’expression de la volonté de notre peuple, le droit du sol pourra être supprimé et le droit d’asile pourra être réformé. Les choix souverains de notre peuple permettront également d’imposer ses volontés au conseil d’Etat et au conseil constitutionnel. Ces instances nous donnent systématiquement tort en matière migratoire et servent à notre sens les intérêts de nos ennemis et de nos adversaires, en lieu et place des intérêts de la France. Nous pourrons également passer outre les oppositions supra nationales (européennes et internationales) qui nous ont toujours entravés et contraints à l’immobilisme.

Nous devons d’ores et déjà assumer une politique forte en termes d’attributions de visas strictement corrélée à la reconnaissance par les pays tiers de leurs ressortissants et l’attribution des laissez-passer consulaires afférents, inhérents à une politique efficace en matière d’expulsion. Et puis très vite, avec l’approbation du peuple français, nous pourrons procéder à l’expulsion de tous les étrangers en situation irrégulière, en utilisant la force. Et cela en nous passant de ces laissez-passer consulaires et de toutes les autorisations juridiques, jusqu’à présent nécessaires et indispensables. Cela sera rendu possible une fois que nous aurons recouvré notre pleine autonomie de décision en matière migratoire. Nous reconduirons ces étrangers sur le sol africain, oriental ou asiatique, en nous affranchissant de leurs nationalités d’origine et en passant des accords de défense avec des Etats susceptibles d’accepter de les recevoir. Nous avons besoin de privilégier une approche qui puisse associer efficacité et pragmatisme, en nous libérant de tous les carcans juridiques et administratifs qui nous freinent et nous empêchent dans l’exercice de cette volonté inflexible, laquelle sera soutenue de manière claire par notre peuple.

L’Etat de droit est au service de notre peuple et non l’inverse. Le droit doit servir notre modèle de société, notre modèle de civilisation. Le droit est au service de nos aspirations sociétales et nous ne serons jamais à son service ! L’Etat de droit doit être ce que nous voulons qu’il soit, à savoir un modèle juridique au service exclusif de nos valeurs, de nos libertés, de notre civilisation. Il ne doit pas permettre à une quelconque religion, à une quelconque idéologie ou à des peuples étrangers de nous asservir, de nous coloniser et donc de nous imposer ce que nous ne voulons pas et ce que nous rejetons.

Nous devons réinstaurer le contrôle de nos frontières tant que le dispositif Schengen n’aura pas été totalement réformé et donc imposer nos décisions à l’Union Européenne. Nous quitterons ces instances immigrationnistes que sont la cour européenne de justice (CEJ) et la cour européenne des droits de l’homme (CEDH). En Méditerranée, notre Marine Nationale recevra l’ordre de contrôler notre espace maritime et de raccompagner systématiquement les migrants recueillis sur les côtes africaines.

L’accès aux prestations sociales doit être subordonné à une présence d’au moins cinq années sur le territoire français pour les étrangers en situation régulière, avec droits à cotisation acquis. L’aide médicale d’Etat doit être supprimée et circonscrite aux seules maladies contagieuses et situations d’urgence absolue.

L’intégration et l’assimilation ne fonctionnent plus.

Nous devons imposer une politique stricte d’assimilation. Celles et ceux qui désirent demeurer légalement sur notre territoire doivent maîtriser parfaitement notre langue, notre histoire, se plier à nos coutumes, à notre culture, à notre art de vivre, au strict respect de nos lois, à tout ce qui fait notre identité. Dans le cas contraire, ils seront expulsés.

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